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Votre dévouée Foelia.

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Bonjour Lona !

Bonjour Foelia, et bonjour à chacun de vous qui écoutez, ou lisez nos mots.

Quatrième entrevue ! Cela signifie que nous sommes à la moitié de ce qui est prévu… et j’ai encore tant de bonheur à te poser des questions et à capter tes réponses. Il y a ton programme de nutrition conscientes, certes, mais je serais aussi heureuse si je pouvais donner un gout de toi à ceux qui nous suivent. Tu véhicules tant de douceur et d’attention. Tu rayonnes un véritable courant de guérison. Comment partager à ce sujet ?

Je suis heureuse que tu tentes de décrire l’effet que ma présence a sur toi. C’est une excellente manière de conscientiser ce dont vos relations vous nourrissent vraiment et qui, dans votre entourage, propose telle ou telle nourriture subtile.

Tu parles aussi de ce courant de guérison. Ce n’est pas ma petite personne qui rayonne ça. Comme chacun d’entre vous, plus nous naviguons sur des courants choisis, plus nous devenons experts de ces courants particuliers. Quiconque consacre sa vie à la santé et à la guérison rayonne forcément ce genre de couleur, puisqu’il s’en fait le canal de plus en plus consciemment, et de plus en plus constamment. Oui, ma passion, mon enthousiasme a pris cette route. Ce n’est pas la seule, bien sûr, mais c’est celle que mon âme explore le plus actuellement.

Je te vois sourire. C’est le mot « actuellement » ?

Oui. Nous sommes encouragés à vous faire passer de plus en plus le ressenti de l’éternité, de la multidimensionnalité de notre univers, et de toutes ces « vies » que nous pouvons voir comme faisant partie de notre grande vie, à travers de nombreuses époques et différents lieux. Quand je dis « actuellement », je fais référence à ce que je suis en ce moment pour toi. Tu me connais comme le canal de ce courant de guérison, c’est pourquoi je suis cela pour toi « actuellement ». Par contre, j’ai aussi une mémoire cosmique qui s’ouvre, et je découvre, moi aussi, que je suis bien plus que ça. Mon histoire d’âme ne s’est pas orientée que sur cette fréquence de la santé. Comme chacun de nous, j’ai évolué à travers de nombreux mondes, suivant leur marche, leur culture fréquentielle. Ce n’est que « récemment », dans cette longue histoire, que je me suis spécialisée sur ce rayon volontairement.

Qu’est-ce qui fait qu’on se spécialise sur un rayon plutôt qu’un autre ?

L’enthousiasme. Et, comme l’enthousiasme est la voix du divin en nous, et comme le divin est ce qui dépasse le cadre de ma petite personne, je devrais te répondre : « Je ne sais pas. » C’est vrai sur le plan de mon mental. Par contre, sur le plan où je me sens connectée à ma joie et à ma vraie nature illimitée, ma réponse serait : « Parce que j’aime ça. » Et ces deux réponses sont valables en même temps. Souvent, vous écoutez vos propres réponses à un seul niveau, alors que nous sommes constitués de multiples couches, chacune disposant de son moteur. La santé vient nous visiter dès que chaque niveau est en relation avec les autres et agit en unité de phase avec l’ensemble. La conscience globale solterienne est malade, essentiellement parce que la pensée des solteriens est fuyante. C’est assez étonnant, vu d’ici. Je vous vois constamment fuir vos pensées. Vous vous trouvez sur un plan spécifique, avec une ligne de pensée et, hop ! vous changez la seconde suivante, comme si vous ne vouliez porter votre attention sur aucune pensée, comme si elles vous brulaient le cerveau, comme si il fallait s’en débarrasser le plus vite possible.

Ici, nous apprenons à choisir nos pensées. Dès lors, les émotions sont comprises immédiatement. Le lien entre la pensée et les émotions nous saute aux yeux. Et vous, comme vous vous détournez de vos pensées constamment, vous ne comprenez rien à vos réactions émotionnelles. Il y a un dysfonctionnement physiologique subtil à ce niveau, ce qui crée des réactions très incompréhensibles pour nous. On vous voit un peu courir comme des poules sans tête, comme vous dites.

Mon regard me fait découvrir ça et mon coeur me fait chercher activement un remède à vous partager. Une ligne importante pour conscientiser cette rupture, c’est la nutrition. Raison de cette action que j’ai entreprise vis-à-vis de vous. Raison de ces mots tissés à travers nos plans respectifs.

Merci Lona de nous partager un peu de toi, par cette vision, cet axe qui est le tien. Est-il temps pour toi de nous montrer le quatrième volet de ton programme de conscientisation par la nutrition ?

Oui, on peut faire ça maintenant.

Je vous propose d’abord de prendre un instant pour faire le bilan des trois points que je vous ai évoqués il y a deux semaines. Vous êtes à la moitié de mon programme, qui compte douze semaines et six étapes.

  1. Lors de la dernière étape, je vous ai proposé d’adapter l’intensité de votre jeûne d’après ce que vous ressentez comme juste pour vous. L’avez-vous fait ? Avez-vous pris un instant pour vous étalonner entre votre envie d’avancer rapidement et fermement et votre besoin de respecter votre rythme ?
  2. Avez-vous été attentifs au rayonnement nourrissant de vos proches, de vos amis ? Avez-vous conscientisé les qualités qu’ils dispensent et avez-vous pu vous en nourrir consciemment ?
  3. Avez-vous bien dégusté votre premier aliment à la suite de votre jeûne ? Avez-vous pu suivre le voyage qu’il propose ?

Voici le programme pour les deux semaines qui viennent :

  1. Choisissez la durée de votre jeûne hebdomadaire, entre six et trente-six heures. Choisissez si c’est un jeûne sec ou si vous buvez de l’eau. Choisir ! Choisir volontairement et consciemment ce qui est juste pour vous. Si vous ne l’avez pas fait la dernière fois, faites-le plus consciemment cette fois-ci. Voyez en vous ces différents personnages qui apparaissent : celui qui veut foncer, celui qui a peur de manquer, de souffrir, celui qui ne se sent pas capable, celui qui veut être irréprochable, celui qui est curieux, celui qui refuse tout compromis… et tous les autres. Jeûner, mes amis, laisse une parole plus libre à chacun de ces personnages. Vous entendrez crier plus fort ceux que vous avez l’habitude de museler ou d’endormir en mangeant. Il ne s’agit ici nullement de se corriger ou de choisir qui a droit, parmi eux, à votre considération, et qui à votre mépris. Il est seulement question de tous les reconnaitre, afin de choisir votre chemin en conscience, en prenant soin des résistants qui ont peur, en les prenant sur votre coeur et en leur disant votre volonté d’avancer, tout en les rassurant sur le fait que personne ne sera laissé derrière. Je vous propose de prendre un vrai moment, disons quelques minutes, pour écrire votre engagement juste, d’une part, et tous les personnages qui apparaissent. Ainsi, vous saurez mieux de qui vous pouvez prendre soin lors de l’expérience.
  2. Un autre défi : vous nourrir consciemment, au moins une fois sur la semaine, d’une relation avec un ami ou un proche. Choisissez qui et choisissez la teneur du moment partagé. Durant ce moment, vous pourrez, si le coeur vous en dit, énoncer les qualités que vous percevez chez cet être cher et en quoi elles vous nourrissent. Ce n’est peut-être pas simple, mais tentez, et partagez vos difficultés et découvertes avec d’autres qui suivent le programme.
  3. À la fin du jeûne, vos canaux subtils sont plus ouverts que jamais aux apports nutritifs liés à la respiration. Forcément, puisque votre corps cherche tous les apports possibles. S’il n’y en a plus de solides, ni de liquides, il reste l’air que vous respirez. Ainsi, avant de réinviter en vous votre premier aliment choisi et de vivre le voyage qu’il vous proposera, je vous propose de prendre, entre deux et vingt minutes, un « déjeuner de prana ». Le prana est cette substance vitale dont les grains vibrent dans l’air. Et ici, votre conscience est primordiale : plus vous êtes conscients de le capter, plus il entre en vous. La conscience décuple son absorption. Au moment d’inspirer, visualisez cet air-lumière entrer par vos narines. Faites un stop, une légère apnée, tant qu’elle reste agréable pour vous. Dans cette apnée, vous pourrez ressentir la charge de prana s’imprégner dans tous vos tissus. Relâchez ensuite votre air. Simplement ça. Il existe une vraie science de la respiration consciente, mais ce n’est pas mon axe de vous emmener dans les détails. Mon axe, c’est la conscience. Peut-être serez-vous surpris de l’effet simple de l’attention que vous porterez sur cette question du prana. Peut-être est-ce nouveau pour vous. Peut-être en connaissez-vous déjà un bout. Dans tous les cas, avant de déjeûner solide, tentez de déjeûner à l’air. Partagez ensuite votre enthousiasme ou vos découvertes.

Merci Lona ! Oui, le forum est toujours ouvert pour ça, et je me réjouis de découvrir les expériences de ceux qui les partagent là. On reçoit plus de motivation quand on est ensemble, qu’on se sait faire partie d’une expérience en groupe. Veux-tu ajouter quelque chose qui te semble important à transmettre aujourd’hui ?

Oui, je peux toujours rajouter quelque chose ! Je rajoute mon bonheur simple de partager avec vous, d’attirer votre attention sur des points si importants pour rétablir l’harmonie entre différents niveaux de vos êtres. Je rajoute mon bonheur de pouvoir répondre à vos questions et ainsi continuer notre mission principale : le rapprochement de nos plans de conscience. Merci de me donner cette occasion, Foelia.

C’est aussi un grand plaisir pour moi, tu sais ! Je rappelle que ceux qui le souhaitent peuvent te poser des questions entre chaque étape du programme que tu nous proposes, qu’il s’agisse des questions de nutrition ou d’autres. Je suis là pour ça, avec beaucoup d’enthousiasme ! Pour être certains que vos questions ne se perdent pas dans des fils de discussion, préférez me les envoyer via le formulaire de contact de mon site foelia.net.

En attendant le plaisir de vous retrouver dans deux semaines pour la cinquième entrevue avec Lona, je vous souhaite à tous, chers cocréateurs, de belles explorations gustatives. À bientôt… avec joie.