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Votre dévouée Foelia.

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Veux-tu que je t’aide à reconnaitre le souffle de cette lune d’Ersaga, Foelia ? Je n’en dirai que deux mots : re-naissance.

Pour plonger plus encore dans vos ressentis, voici que vous pouvez associer à chaque lunaison l’incarnation d’un principe, et à chaque décan une phase de cette incarnation. Er ici est l’idée à faire germer, Sa l’amour dans lequel la faire germer, et Ga l’acte incarné.

Vous pouvez choisir cette interprétation pour chaque lunaison et la manière dont elle éclaire la partie du zodiaque à incarner.

Puisque les lunaisons sont actuellement synchrones avec les signes, vous trouverez facilement des concordances d’ambiances avec les forces qui sont traditionnellement associées à ces signes. Lorsque ce ne sera plus le cas, laissez-vous imprégner par une autre compréhension possible, en continuant d’associer au premier décan l’impulsion, au second la formation, et au troisième la concrétisation. Cela change considérablement la donne pour qui fait l’effort de ressentir.

Pourquoi renaissance pour Ersaga ? Parce que l’idée de renaitre peut vous porter jusqu’au solstice. L’idée d’expirer pleinement pour vider vos poumons d’un air qui a rempli sa fonction et les préparer au nouveau souffle. Non, ce n’est pas l’heure encore de renaitre, mais on peut totalement lâcher la matière et tous les projets de ce monde pour faire place nette, avec déjà en soi la connaissance de la raison de ce relâchement sain : un redéploiement futur avec de nouvelles données.

Ersaga expire jusqu’à la fin d’un cycle. On y rencontre facilement cette ambiance typique de manque de sens, cette apparente inertie. Oui, c’est la fin du souffle avant le voyage vers le Père galactique qui nous en donnera un nouveau au solstice.

C’est ici qu’il est bon de mettre du sens : cela a du sens de lâcher un sens périmé pour en recevoir un autre, plus en phase avec les défis de ce monde et la place qu’on peut y occuper.

On peut donc lâcher la tension de devoir agir, comprendre ou trouver du sens !

Non pas la lâcher, mais reconnaitre cette détente qui prépare la renaissance, avec plus de sens, sans la craindre, sans angoisse du vide. Le vide bien vécu autorise une renaissance plus consciente et plus apaisée. Et c’est tout ce que je vous souhaite, mes amis solteriens.

Merci Atena, de nous encourager à nous plonger dans nos ressentis.

Je le ferai toujours. Votre liberté en dépend. Plus vous conscientisez ce que vous ressentez, plus vous pouvez en jouer pour créer en toute liberté.

Si nous allons plus dans le détail, comment porter l’idée d’Er, mettre l’amour en Sa et poser l’acte en Ga ?

C’est très simple, Foelia. L’idée d’Er est d’oser habiter le sentiment de vide. En Sa, l’effort consiste à aimer tous les manques et toutes les peurs qui peuvent apparaitre concernant ce sentiment et à apprécier l’ambiance profonde et intime que ce vide met en vibration. En Ga, l’acte peut être d’offrir toutes ces petites peurs à l’unité et d’avancer les mains vides vers le solstice, en vue de récolter le suc issu du coeur galactique. Nous pourrons en reparler pour préparer ce solstice, si tu le souhaites.

Volontiers !

Les indications que je donne sont personnelles. Il n’est pas question de tenter de vous y conformer. Ce que j’espère, c’est que chacun de vous puisse associer chaque décan avec un ressenti propre, personnel, un gout, une ambiance, qui se vit en tant qu’expérience avant d’être traduite en mots. Que chacun de vous établisse son lexique d’ambiance. C’est là-dessus que nous pourrons construire la suite : une plus grande et plus profonde connaissance de votre vie intérieure et de vos cycles, ainsi que la manière dont ils se mettent en résonance avec ce coin d’univers que vous habitez.

Si tout ce que je vous transmets comme invitation devait se retrouver dans un livre comme parole d’évangile, comme un nouveau dogme à croire et à appliquer, nous serions passés à côté du sujet. Le sujet, c’est vous, chacun de vous. Ne vous laissez pas raconter votre histoire par d’autres. Reprenez-en conscience par vous-mêmes. Et votre histoire est dans les cycles, petits et grands. L’histoire de ces cycles est gravée dans le ciel et dans chacune de vos cellules.

Vous vous intéressez à votre mémoire profonde, n’est-ce pas ? Je vous le dis, c’est par votre ressenti que vous la mettrez à jour. C’est pour ça que je m’efforce de vous inviter à ressentir, Foelia. Habiter une cellule qui s’éveille est une aventure individuelle d’une grande beauté. Et c’est une aventure que vous avez choisie de vivre, n’est-ce pas ? Alors entrez dans cette vaste contrée des ressentis, où l’ambiance globale est autant la chose à percevoir que l’organe de perception. Une partie de soi, tout simplement.

Merci Atena !