Vous pouvez me retrouver sur mon blog ou mon canal Telegram, mais aussi sur ma chaine Youtube. Je mets toutes ces transmissions créatives à disposition gratuitement, chaque semaine depuis plusieurs années. Si elles vous parlent, vous aident, vous soutiennent, n’hésitez pas à témoigner de votre intérêt, par exemple en les partageant sur vos réseaux. Votre attention est une vraie force que je reçois et qui m’encourage à continuer dans cette voie. Ne sous-estimez pas l’acte d’oser partager ce qui vous touche. Il ouvre bien des portes pour soi et pour les autres. Belle journée sur notre magnifique planète, chers cocréateurs !

Votre dévouée Foelia.

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Chers amis cocréateurs, j’ai le plaisir aujourd’hui d’entamer un cycle de six entrevues avec mon amie de toujours : Laina. Comme je l’ai fait avec Elior et Loya, je lui ai proposé la même formule et elle a répondu…

Ouiii ! Et me voici à vos côtés, mes amis, très enthousiaste à cette idée !

Et moi je suis très heureuse de recevoir ton enthousiasme sur mon canal ! À vrai dire, je n’avais aucun doute à ce sujet. Ce qui me rend la plus heureuse, c’est que je sais la joie que tu es capable d’insuffler tout autour de toi, par les sourires que tu parviens à communiquer à travers les mots que tu choisis !

Oui, rappelons quand même que c’est toi qui portes cette responsabilité de choisir les mots. C’est toi qui, années après années, t’es exercée à traduire la musique de ma pensée par tes mots. Mettre la musique en mots, c’est ton oeuvre !

C’est la nôtre, plutôt, tu ne crois pas ? Si tu ne répondais pas quand je te questionne, j’aurais bien peu de choses à traduire.

Tu as raison, c’est un tandem. Un joyeux tandem.

Bon, ça a déjà le mérite de plonger nos auditeurs et nos lecteurs dans la tonalité de notre relation. Si vous ne le saviez pas encore, je peux décrire Laina comme… une très grande amie, avec laquelle de nombreuses aventures ont été vécues à travers l’espace et le temps. Peut-être pourrais-je formuler ma première question comme ça : Peux-tu décrire notre relation, depuis ton point de vue ? L’idée n’est pas de nous mettre en avant, mais d’expliquer à ceux qui nous suivent ce que nous faisons, à quoi nous avons choisi de servir.

Bien volontiers ! Mais d’abord, pourquoi craindre de nous mettre en avant ?

J’ai souvent peur d’être prise pour une prétentieuse qui veut faire parler d’elle.

Eh bien prenons cette peur contre notre coeur et hissons-nous directement au-delà. Que dirais-tu d’un monde où personne n’ose se montrer tel qu’il est, rayonnant, avec tous ses talents. Ca ne veut pas dire cacher ses imperfections. Imparfaits, on l’est tous, n’est-ce pas ? Mais oser partager tout le beau qu’on porte n’est-il pas le seuil d’un monde plus lumineux ?

Tu as raison.

Le tout est de voir pourquoi on se « met en avant », comme tu dis : est-ce pour combler une vieille blessure, un besoin de reconnaissance, un besoin d’importance ? Ou est-ce pour simplement témoigner dignement d’une belle part de nos âmes ? D’ailleurs, ce n’est pas binaire ! Ce n’est pas l’un ou l’autre. À vrai dire, il y a toujours un petit ego en recherche de reconnaissance, et surtout de consolation… et en même temps une âme qui est faite pour briller et partager son coeur. Peut-on aimer ces deux réalités en même temps ? Je crois que c’est important de montrer cette réconciliation possible. L’ego n’est pas à rejeter. Il est bien plus utile de le voir comme un petit enfant qui souffre. Aurait-on idée de rejeter un enfant blessé ? Accueillons tout, Foelia. Accueillons toutes les parts de nous-mêmes, les grandes comme les petites, les belles comme les imparfaites. Et dans ce regard possible, même l’imperfection a sa beauté. Qu’en pensez-vous ?

Oh Laina, ça nous ouvre directement à un autre niveau de dialogue. Tu fais bien de poser ce cadre dès le début. Merci !

C’est ça l’accès à notre cinquième dimension, tu vois ? Ce n’est pas ésotérique ou compliqué. Difficile, oui, sans doute, depuis la pression de densité que vous subissez. Mais c’est là tout le challenge qu’offre Solter.

Alors, tu voulais que je commence par décrire notre relation. Eh bien nous faisons partie d’un collectif qui nous dépasse et dont je ne peux même pas évoquer l’origine lumineuse. Nous faisons partie intégrante de la fraternité universelle, au sens large, et sommes venues toutes les deux sur cette planète avec un plan. Je peux vous en dire ce qui peut en être dit jusqu’ici, mais un plan se dévoile au fur et à mesure. Il comporte ses surprises, ses paliers de compréhension, ses étapes.

Pour le moment, il est tout à fait communicable que nous sommes deux âmes compagnes.

Ce qui ne signifie pas esprits jumeaux, il faut le préciser !

Oui, précisons-le. Nous ne procédons pas du même esprit androgyne qui se scinde en deux pôles pour visiter la matière duelle. Nous sommes amies de longue date. Hihi !

C’est un jeu de mots !

Oui, puisque nous nous connaissons dans l’éternité, notre amitié n’a pas d’âge.

Dans cet épisode, il a été convenu que tu t’incarnes sur Solter et que tu oublies, comme tout le monde, tes origines. Pour ma part, je devais rester près de toi à chaque instant et te suivre dans ton développement. C’est ce que je fais depuis le début. Je ne te quitte jamais ! Notre ambition était de créer une force de rappel entre nos deux plans de vie : la conscience incarnée dans un oubli très dense, et la conscience cosmique, qui vit en chacun de vous mais que vous perdez le temps d’une vie dans un corps dense.

Il n’était pas dit que nous réussirions à nous recontacter consciemment. Auquel cas j’aurais fait mon travail d’accompagnatrice « de plus loin ». Mais il se fait que nous avons réussi à créer une brèche entre les mondes.

Il y a déjà plus de vingt ans ! Tu te rends compte ?

Oui ! Ce n’était pas gagné et nous avons réussi à passer ce cap important. Beaucoup d’autres sont venus en ces instants avec des missions similaires. Chacun est unique et doit créer sa forme, selon sa sensibilité, selon la sensibilité du duo constitué. Et voilà la forme qui est la nôtre aujourd’hui.

Est-ce une bonne présentation de notre relation ?

Il me semble. Peux-tu approfondir notre lien avec la fraternité universelle que tu as mentionnée ?

Tout comme toi, ma capacité de compréhension a ses limites. Même si je me situe sur un plan plus subtil que le vôtre, j’ai aussi ma densité propre, et ma grande mémoire a aussi ses frontières, que je m’efforce chaque jour d’élargir. Mais je peux dire que je fais partie de l’équipage d’Atena et que nous servons volontairement l’action de la plus haute instance divine que je puisse considérer à ce jour : la conscience du coeur de notre galaxie. Et dont l’énergie est incarnée puissamment par le commandant de notre flotte de la paix, que tu appelles Ishtar. Vous parlez de l’énergie du Christ ou du Bouddha au niveau du système de Sol. Cette énergie est la conscience de Sol, tout simplement. Eh bien mon champ de vision ne se limite pas à cette étoile qu’est votre soleil. Je ressens ma connexion avec ma divinité intérieure jusque dans l’esprit du coeur de la Voie Lactée, et même au-delà. Dire que je ressens cette connexion divine avec tout l’univers serait prétentieux, même si c’est mon idéal, parce que je suis bien loin de connaitre ou de comprendre tout l’univers. Il est si vaste !

N’étant pas soumise à l’oubli qui caractérise notre densité, on peut dire que tu m’aides à retrouver ma propre mémoire, depuis toutes ces années.

Oui, c’est un peu mon travail. Mais il ne s’agit pas seulement de ta mémoire, Foelia. Il s’agit de permettre à chaque solterien de se souvenir qu’il a son propre canal vers les mondes subtils, à commencer par le réveil de ses perceptions en cinq dimensions. C’est ça le coeur du travail actuel. De nombreux duos comme le nôtre prennent part à cette construction, à cette création de pont. Et nous jouons sur la force de notre amitié, qui active une forme de nostalgie dans vos coeurs endormis. C’est comme ça que l’envie de « regarder vers le haut » et d’appeler se réveille en vous. Et nous sommes là pour vous saisir au vol ! C’est-à-dire pour vous répondre.

Dès que vous pouvez nous appeler, c’est que vous êtes prêts à nous écouter. Et le travail d’accompagnateur devient celui d’un tandem conscient. Le canal se creuse, ou le pont se construit, ça dépend de l’image qu’on veut prendre. Et ce canal donne lieu à une forme particulière. Il s’exprime différemment chez chacun.

Et voilà la forme du nôtre ! En tout cas l’une des formes : des mots qui s’écrivent et la joie d’une habitante de la cinquième dimension qui nous parvient et s’imprime dans notre compréhension.

Tu es aussi une habitante de la cinquième dimension, sans quoi nous ne pourrions communiquer de cette manière. Il serait plus juste de dire que, parce que tu parviens à te hisser sur un plan plus subtil d’où cinq directions sont perceptibles, nous pouvons être en contact et échanger. J’ai beaucoup de choses à vous partager, vous savez ! En fait, ce que j’ai à vous partager n’est pas aussi important que le fait d’activer en vous cette capacité de partage entre les plans.

Vous qui écoutez cette émission, cette fréquence, ce canal. Vous qui entendez ces mots, je voudrais attiser votre curiosité.

Foelia, pouvons-nous demander à ceux qui nous suivent de ne pas hésiter à me poser des questions sur moi, sur ma façon de vivre, sur ce qui les interpelle dans ce que je transmets ?

Oui, bien sûr. Nous l’avons déjà fait, d’ailleurs !

Eh bien rappelons-le alors !

Je veux bien que notre prochaine entrevue soit faite de leurs questions pour toi !

Ce serait super ! Cela active un lien. Je vous invite à le faire, amis denses. Je ne veux pas vous soustraire à votre propre capacité à poser vos questions et à y répondre, mais vous montrer qu’il y a beaucoup de joie à se poser des questions « en public ». Il y a un vrai travail à accomplir pour amorcer le flux entre nos plans. Ce travail, comme d’habitude, est d’abord individuel, mais il profite au collectif, il nourrit le collectif, il émancipe nos forces par leur mise en commun.

Bon, donc l’invitation est lancée. Nous verrons qui veut jouer avec nous ! Merci pour cette belle première entrevue, Laina. Merci pour ta joie partagée. Je ne sais pas si elle pourra transparaitre dans les mots écrits. J’espère.

Amis cocréateurs, je vous souhaite une magnifique journée, faite d’inspiration et d’expression de vos talents. Comme le dirait Laina : osons rayonner le beau que porte notre âme. Et n’écrasons plus nos petits egos. Prenons soin de nos blessures et de nos besoins maladroits d’exister, et consolons-les.

Au plaisir de vous retrouver tout bientôt !

Votre dévouée Foelia.