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Votre dévouée Foelia.

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Mes amis cocréateurs, cela fait plusieurs jours qu’Atena me souffle un jeu, un exercice, une pratique à vous partager. Je ne sais comment appeler ça.

Eh bien la voici, là, avec moi ! Je pensais tout formuler moi-même, mais c’est encore mieux en direct, avec les wams qu’elle m’envoie.

Atena

À tous ceux d’entre vous que la langue des étoiles stimule, intrigue, appelle, voici que je vous propose un jeu de piste avec vous-mêmes. Il sera valable éternellement, en tout lieu de l’espace et du temps.

Repérez vos cycles. Le cycle de la rotation de votre planète, le cycle de sa lune, et le cycle de sa révolution autour de son soleil.

À chaque instant, vous recevez un flux lumineux, une certaine quantité de photons, en provenance de tout le cosmos. Ce flux est information. Informations sur vos profondeurs, autant qu’informations sur le cosmos et ses aspirations.

À chaque heure de la journée, le sommet de votre crâne fait office d’antenne et reçoit cette information. Essentiellement l’information des photons qui lui parviennent du zénith. Ainsi, les étoiles qui se lèvent et se couchent au-dessus de votre tête vous chantent-elles leur harmonie à tout instant.

La pratique que je vous propose est simple, mais requiert une véritable conscience. J’entends par là qu’il convient de la poursuivre avec assiduité, consciencieusement.

Étudiez autant que vous le souhaitez les modèles astrologiques, si cela vous stimule. Mais aucun modèle ne contient l’expérience que vous avez à vous réapproprier. Connaitre les constellations et leur influence théorique ne vous mène qu’à la surface des choses. Pour plonger dans l’expérience, il convient de relier le flux photonique des étoiles et ses effets à votre propre conscience. Tout est une histoire à éprouver. La connaissance véritable est à ce prix. Et si elle vous intéresse, voici une manière d’entrer en relation avec l’expérience.

Prenez un cahier vierge, contenant au moins trente-six pages. Sur chacune de ces pages, vous nommerez, comme bon vous semble, chaque décan du zodiaque – un par page – à commencer par celui qui suit directement le solstice de décembre. Inventez-leur des noms que vous aimez, reprenez les noms des traditions qui vous parlent, ou numérotez-les, simplement. Peu importe, pourvu que vous aimiez votre composition. L’aimer est l’essentiel, parce que vous allez ainsi apprendre à cartographier vos continents intérieurs, tout en les reliant au cosmos qui vous entoure et vous soutient.

Lors de chaque décan, prenez, au moins une fois, un rendez-vous avec vous-mêmes. Un arrêt simple devant votre carnet, afin d’y consigner les forces que vous percevez à l’oeuvre en vous. Ne jugez rien, ne cherchez pas à les relier à un modèle connu. Explorez avec le regard neuf de l’enfant qui découvre le monde. Écrivez-y les mots, ou peut-être les phrases, qui expriment le mieux ce qui se joue en vous sur trois niveaux :

1. Comment va mon corps physique ? Quelle est la qualité de son énergie, son tonus, son état d’excitation, son ambiance.

      2. Comment va mon corps émotionnel ? Quelles émotions sont là, agissantes, stimulées, qu’elles soient exprimées ou réprimées ?

      3. Comment va mon corps mental ? Que me disent les pensées qui viennent à ma rencontre ? Quelle est leur nature ? Quelles images s’impriment en moi ? Quels aspects de la vie concernent-elles ?

      Pour ceux qui parcourent un chemin spirituel volontairement, vous pouvez ajouter un quatrième niveau :

      4. Comment va ma mémoire profonde ? Qu’est-ce qui se manifeste dans mes rêves ? Quelles sont mes aspirations, mes projets, mes enthousiasmes ? Et avec quelle force suis-je capable de m’orienter vers eux dans le concret ?

        Ce carnet, ou ce fichier informatique si vous préférez, conservez-le toute votre vie. Une vie solterienne ne dure pas très longtemps. Le nombre de cycles est limité. Mais année après année, votre compréhension grandira. Non seulement parce que vous finirez par repérer le retour perpétuel des ambiances que vous cherchez à conscientiser, mais aussi parce que le temps passé à tenter de ressentir ces flux raffinera vos sens, votre écoute profonde du chant des étoiles.

        Il n’y a pas d’autre voie que l’expérience directe pour quiconque souhaite vraiment connaitre.

        Il n’est pas nécessaire d’en dire plus pour le moment. Faites vôtre cette pratique si elle vous allume, ou dès qu’elle vous allumera. Peu importe quand vous entrez en contact avec cette proposition. On peut la commencer à tout moment de l’année. On peut y consacrer autant de temps qu’on le souhaite. Le minimum proposé, c’est un moment par décan. Mais ça peut être tous les jours si vous le souhaitez. Cela ne doit être qu’une joie. Aucunement un effort, ou un devoir à accomplir.

        Je vous adresse mon simple et tendre sourire. Mon rôle est de vous remettre les clés de votre capacité propre à ressentir. Mon souhait est de vous aider à quitter le monde des croyances ou des savoirs vides. Expérimentez ! Voilà mon impulsion.

        Si vous vous questionnez, commencez toujours par m’appeler au-dedans de vous. Et je répondrai. Et vous m’entendrez à la mesure de l’ouverture de votre écoute. Je ne serai pas la même Atena que pour Foelia. Vous pouvez me nommer comme bon vous semble, pour autant que vous aimiez ce nom. Chacun a à tracer son propre chemin vers l’être divin qu’il est. Je ne suis qu’une voix qui traverse les plans pour vous le rappeler. Non pas pour que vous le croyiez, mais pour que vous l’expérimentiez.

        Merci Atena ! Je démarre ce cahier dès aujourd’hui !