J’adore être en contact avec vous !

Laina

Ishtar me fait savoir qu’il y a une communication à prendre. Et comme je suis ta guide vers le plan où il se situe, j’interviens. Veux-tu me suivre ?

Plus que tout, Laina !

Focalise ton attention sur la chaleur autour de ton coeur. La sens-tu rayonner ?

Oui !

Ressens son intensification, jusqu’à un bouillonnement joyeux qui pousse les limites et les frontières. La pression monte, tant vers le haut que vers le bas. Toutes les écluses s’ouvrent. Ressens tes racines terrestres, en connexion avec le coeur de la planète. Ressens la sève monter. Ressens tes racines célestes, en connexion avec le coeur du cosmos. Ressens la lumière descendre. Ressens le pont que tu es entre les deux pôles de la batterie cosmique. Reçois l’intensité.

Je ne sens pas d’intensité particulière…

Ce que tu ne ressens pas, imagine-le. L’imagination est l’athanor du ressenti, parce qu’elle focalise l’attention dans une direction précise et le ressenti peut alors être accueilli. Peu importe où se situe exactement la frontière entre imagination et ressenti. Je peux te dire qu’elle est illusoire et qu’il s’agit d’un gradient de plans successifs.

D’accord.

Ressens ce torrent qui dévale du ciel.

Je le sens et il m’écrase.

Très bien. Il convient maintenant de te faire la plus claire possible afin que nulle résistance personnelle ne s’interpose. Visualise tous les agrégats solides se détacher et se laisser emporter par le courant. Que reste-t-il ?

Toujours moi, le poids en moins.

C’est ça ! Et plus de clarté, parce que la densité, en plus d’alourdir et d’engourdir les facultés de ressentir, crée un dépôt devant la vraie vision, et devant la vraie compréhension.

C’est bien que tu aies noté le processus. Il pourra être ainsi diffusé et retraversé par tous ceux qui souhaiteront en faire l’expérience.

Maintenant, cramponne-toi à moi.

Comment ? Puisque je ne peux pas te toucher à travers les plans qui nous séparent !

Bien sûr que tu peux me toucher et me donner la main. Bien sûr que ce n’est pas ta main physique ! C’est la main de ton ressenti cardiaque, c’est-à-dire la joie. C’est la joie qui nous relie, et tu peux la saisir comme tu saisis une main tendue. À partir de cet instant, puisque tu me tiens la main, je peux te hisser plus haut. Es-tu prête ?

Je le suis !

Le voyage est toujours accompagné d’une grande émotion, qui se traduit en larmes, bien souvent.

C’est parce que tu dois les laisser derrière, ces émotions. Et pour ça, elles doivent sortir. Laisse-les passer. Le délestage émotionnel fait partie du voyage. Et il est en même temps le signe que le voyage s’accomplit. Tout est juste. « Le coeur est toujours au bord des larmes, sans s’y perdre. » C’est ce qu’on appelle la sensibilité. Il faut te rendre sensible à l’extrême pour recevoir une expérience nouvelle. Et l’expérience du coeur est toujours nouvelle. Elle n’est jamais répétition de l’ancien, même si elle peut s’appuyer sur un chemin déjà parcouru, sur un pont déjà bâti : la mémoire.

On est en train de formuler tout le voyage vers le coeur !

Oui, et c’est un grand bien ! Il y aurait mille manières de le conscientiser. Si ces mots en sont une et qu’ils servent de fil d’Ariane à d’autres, j’en serai très heureuse !

Moi aussi !

Nous arrivons sur le vaisseau amiral d’Ishtar. Mon rôle s’arrête ici, mais je reste bien sûr non loin de toi.

Merci, Laina !

Lorsque je me stabilise sur cette fréquence du vaisseau-mère, je me trouve dans une salle de réunion. Ishtar est là en personne. Ou peut-être pas tout à fait « en personne » ? Il s’est matérialisé dans un corps, peut-être un hologramme, mais bien vivant parce qu’il émane de lui un rayonnement d’une rectitude absolue, alliée à un amour à la profondeur infinie, encore bien mystérieux pour moi. Une douzaine d’êtres semblent faire partie d’un conseil décisionnel, mais il y a autour d’eux comme des gradins qui permettent à de nombreux témoins d’assister à cette réunion. Je suis l’un de ces derniers.

C’est Ishtar qui parle.

Ishtar

Vous qui nous écoutez, sachez qu’il n’y a qu’une information à transmettre, qu’une seule fréquence à amplifier, qu’une seule direction vers laquelle orienter chacune de nos actions : la pacification. Que cette pacification soit notre mot d’ordre. Nous n’avons rien à vaincre à l’extérieur de nous. Nous avons seulement à faire sentir à tous qu’il est possible de quitter les fréquences de la guerre, de la discorde, de l’agressivité.

Beaucoup d’humains de la Terre croient encore devoir se battre, sans se rendre compte que lorsqu’ils se battent, ils restent sur le champ de bataille. Le champ de bataille était le terrain de jeu des forces qui n’ont plus leur place sur cette planète. Elles savent pertinemment que cette bataille est perdue, mais cherchent encore à emporter avec elles le plus grand nombre d’âmes possible. Aussi, notre stratégie de paix n’est pas de mener le combat, et d’ainsi perpétuer l’illusion dont nous essayons de faire sortir nos frères et soeurs endormis. Notre stratégie est de déserter le champ de bataille. Ainsi, notre adversaire se retrouvera sans cette nourriture qui le maintient en position de pouvoir : la guerre. Puissiez-vous tous entendre l’enjeu de cette direction commune. Traduisez-le dans tous les registres dont nous disposons afin que cette paix reste notre direction absolue.

Je vois alors Ishtar se dématérialiser dans un tourbillon lumineux, dont subsistent quelques instants de petites volutes de grains dorés. Sa présence dissipée, l’atmosphère devient plus dense, un peu plus froide, mais toujours très chaleureuse malgré tout. L’un des douze prend la parole et invite tous les témoins à poser leurs questions de manière informelle.

De petits groupes se constituent alors naturellement pour échanger sur la direction donnée par Ishtar. Je sais très bien vers qui me diriger. Est-ce d’ailleurs réellement ma volonté qui me porte devant elle ? Je n’en suis pas certaine. C’est l’une des douze, dont la présence m’est plus que familière…

Atena

Je t’écoute, Foelia. Je répondrai à tes questions et t’aiderai à creuser le canal vers la conscience courante de Solter.

Je vais peut-être paraitre impertinente, mais le message d’Ishtar me semble évident et ne m’apprend, il me semble, rien de nouveau.

Elle sourit tendrement.

Je reconnais bien là ta témérité. Ce que tu juges impertinent nous sert, parce qu’il nous faut pouvoir nous exprimer sur toutes les longueurs d’onde audibles par les solteriens.

Ne cherche pas le nouveau dans l’information. L’information vous semble toujours connue. Tous les maitres qui vous ont accompagnés, depuis des milliers d’années, vous ont transmis des données qui se traduisent toujours sur le même plan. Les informations sur la destination, vous les avez. Mais cela signifie-t-il que vous les avez intégrées jusque dans vos actes, jusque dans votre nature profonde ?

Non, tu as raison. Ishtar donne l’axe de la paix… mais c’est vrai que la plupart d’entre nous sommes encore en guerre ordinaire, tous les jours.

C’est pourquoi les mêmes mots doivent résonner sans cesse dans votre environnement, afin qu’ils vous diffusent graduellement la force de les traduire en actes. La direction n’est donc pas nouvelle, mais la charge d’intensité qu’elle requiert aujourd’hui, et que nous amplifions par tous nos moyens, elle, est nouvelle pour votre monde. L’intensité croissante fissure vos résistances plus rapidement que jamais. C’est pourquoi nous accompagnons cette intensité croissante d’une aide croissante. Et cette aide passe par toi pour prendre la forme d’une formulation, qui permet une conscientisation de ce qui se produit actuellement et dépasse de loin votre plan de conscience humain.

Je vais apporter, moi aussi, un éclairage particulier en ce jour. As-tu compris pourquoi Ishtar nous invite à déserter le champ de bataille ?

Parce que rester dessus renforce l’action de l’adversaire, non ?

Exactement, mais cherche à comprendre mieux encore. Il faut que vous appreniez à bien visualiser ces plans de conscience, que d’aucuns traduisent par « densités », ce qui convient aussi parfaitement.

Soyons clairs : lâchez tout combat. Ne cherchez plus à manifester votre opposition ou votre mécontentement, ne cherchez plus ce que vous nommez « la voie légale », ne cherchez plus à convaincre, à raisonner ou à argumenter avec ceux qui ont choisi le camp des aveugles.

Oh, le mot est fort !

Je l’utilise à dessein. Il n’y a pas pire aveugle que celui qui refuse de voir, dites-vous ? C’est juste. Le choix de regarder et de voir le changement radical qui s’opère au niveau cosmique et se répercute immédiatement sur vos plans de conscience humains, restera toujours un choix individuel. Certains font le choix de ne pas voir et ce choix les regarde. Vos choix vous regardent. Comprends ces mots, comprenez ces mots.

Soyez de ceux qui ne cherchent plus à modifier l’ancien. L’ancien est déjà mort. Ne cherchez pas à ranimer un cadavre. Soyez de ceux qui créent le nouveau monde, hors de tout cadre préexistant, hors de toute règle ancienne, de toute loi. Reprenez vos responsabilités face à ce que vous nommez la loi. La loi est en vous et s’incarne par la volonté de prendre soin de toute forme de vie. Il n’y a qu’une loi : l’amour.

Ce n’est pas facile de l’appliquer !

Non. C’est bien pour cette raison que nous sommes à vos côtés pour vous indiquer la voie. Vous ne pourriez pas la suivre collectivement sans notre concours. Vous ne pourriez pas évoluer si rapidement sans notre aide intense. Mais peu importe ceci. Ce qui compte, c’est que vous avanciez, rapidement.

La compréhension qui semble la plus essentielle actuellement est celle de ne plus oeuvrer en vous opposant, mais en proposant. Proposez le nouveau et cocréez-le ensemble. Ne perdez pas un temps précieux à frapper sur quelques briques qui s’effondrent, pour reprendre une image qu’Ishtar t’a inspirée il y a plusieurs décennies déjà. C’est essentiel. Un mot d’ordre : la paix.

Et quand les groupes de résilience au sein desquels nous nous réunissons pour cocréer le nouveau ne s’accordent pas sur ce principe de paix ?

Ishtar l’a clairement signifié : ne vous battez pas, désertez le champ de bataille.

Cela veut dire que nous devons nous extraire des groupes qui alimentent la guerre ?

C’est effectivement la direction qu’il nous donne et que je ne peux qu’accompagner, tant elle me semble évidente. Vous n’avez jamais rien à croire. Ça aussi, vous devez rapidement le comprendre. Nous ne vous rappelons que des évidences, et tant que vous ne les percevez pas comme telles, ne les appliquez pas !

Trouvez vos formules avec ce guide en tête : déserter le champ de bataille. Ne vous épuisez plus au combat ! Vous ne faites que livrer votre énergie à ceux qui perpétuent l’ancien en vous maintenant sur les fréquences basses de la guerre. Réveillez-vous sur ce fait !

Je peux vous donner une indication concrète : vous n’avez pas besoin de perdre votre énergie à renvoyer de vos groupes les infiltrés de ces énergies basses. Il vous suffit de recréer un autre groupe. Vos groupes doivent être totalement fluides, flexibles. Il n’est même pas utile de les nommer, parce qu’ils devront changer cent fois de noms, se recréant sans cesse afin de maintenir le point de paix en ligne de mire. Ne vous accrochez pas à la forme des groupes dont vous faites et ferez partie. Ce qui compte, c’est de vous réunir uniquement dans la paix.

Ok. Ça me parait un peu compliqué, mais je vais laisser ça décanter, jusqu’à en percevoir l’évidence, comme tu le suggères.

C’est le chemin !

Tu es plus concrète aujourd’hui !

J’ai beaucoup de possibilités pour voguer entre les plans, du plus dense au plus subtil de mon être. Je peux autant vous parler concrètement et stratégiquement que tenter de vous emmener sur des plans de contemplation qui vous semblent lointains, parce que loin de vos plans de conscience habituels, sur lesquels vous séjournez quotidiennement.

Mon action est multi-plans, tout comme la vôtre pourrait l’être. Prenez-en bonne note. Prenez connaissance de la multidimensionnalité de vos êtres. Demandez-vous d’où provient votre volonté, qui se traduit en action. Provient-elle de plans lumineux ou de plans liés à la peur ? Vous devez aussi, rapidement, apprendre à discerner d’où vient votre intention et ce qu’elle alimente. Nous vous aidons et vous aiderons aussi pour ça.

Merci Atena !

Tu connais le chemin pour nous rejoindre, moi et toute la Fraternité que je représente. Empruntez ce chemin autant que vous le souhaitez, le plus fréquemment possible. Plus ce canal est emprunté, plus nous pourrons vous accompagner intensément.

Que chacun ouvre en lui ce canal pour nous rejoindre. Cette possibilité séjourne en chacun !

Mais cela requiert un entrainement, non ?

Bien sûr. Chacun peut le faire, cet entrainement. D’ailleurs, chacun a à le faire à sa façon, unique. La diversité de tous ces chemins pour nous rejoindre explose actuellement. Et c’est bien notre volonté. Que chacun trouve le sien, selon ses moyens. Que chacun prenne en main son propre itinéraire, avance de ses propres pas. Vous pouvez suivre les pas de ceux qui vous inspirent. Ils sont là pour ça ! Mais cessez de croire qu’ils peuvent actionner vos jambes à votre place. Ne perpétuez plus cette illusion. Ne confiez à personne la responsabilité de vous faire évoluer. Cherchez vos enseignants et prenez la responsabilité de vos apprentissages. La période que vous vivez est fantastique pour ça ! Que d’apprentissages possibles en si peu de « temps » !

Ça aussi on nous l’a dit maintes fois !

Ça aussi, nous vous le répèterons maintes fois. Nous sommes là pour vous encourager : allez-y ! Saisissez cette vie et tout ce qu’elle vous apporte en expériences intérieures !

Notre vie peut paraitre difficile en cette époque !

Difficile ou pas, cela change-t-il quoi que ce soit à votre responsabilité ? Nous traversons avec vous une période intense, c’est certain. Pourquoi choisir de la regarder comme difficile ? Vous donnez ainsi consistance aux énergies lourdes, qui vous maintiennent sur le plan de l’inaction, qui mène à ce que vous nommez la déprime, issue du sentiment d’impuissance. C’est une illusion. Nous sommes là pour vous rappeler votre puissance ! Tout est possible ! Retrouvez-vous en collectifs, comme nous vous y invitons, afin de vous placer sur les fréquences de la cocréation du nouveau, et vous serez pris dans un courant ascendant. Allez-y ! Recevez tous nos encouragements et tout notre amour ! Nous travaillons conjointement, main dans la main, entre les plans, afin que s’accomplisse cette grande et merveilleuse transition. Apprenez à bénir ce que vous nommez « difficultés ». N’avez-vous pas encore remarqué à quel point ce sont elles qui vous donnent la force de bouger ? Sans elles, votre vie ne plafonnerait-elle pas en intensité, et donc en joie, seul accès au nouveau ? Je vous le dis, ce que vous nommez difficulté est votre ferment, pour autant que vous ne vous y laissiez pas pourrir.

Encore un mot fort !

Non, ce n’est pas trop fort. Le monde ancien pourrit. Ne pourrissez pas avec lui. Découvrez la graine de nouveau que vous portez et servez-vous de la pourriture comme engrais, jusqu’à faire germer ce monde qui ne se trouve qu’en vous. Nous ne pouvons pas vous l’apporter, parce qu’il est intérieur. C’est chacune de vos attentions à le faire pousser en vous qui donnera un monde consensuel bien plus beau, auquel vous offrirez vos nouveaux fruits.

Ce qui est pourri n’est pas le mal non plus. Reconnaissez à chaque stade du cycle de la vie son intérêt et sa place juste et irremplaçable. Il faut un certain terreau pour que germe le nouveau. Comprenez à quel point tout ce qui se produit actuellement est juste et bon. Quittez la peur. Vous ne craignez rien si vous cocréez les nouveaux circuits d’amour qui annoncent ce nouveau printemps de vos âmes.

Oui, vos âmes émergent dans des dimensions qui leur étaient jusqu’à présent inaccessibles et, oui, l’action d’une force adverse est parfaitement utile et nécessaire, vous le percevez bien. L’inertie dont souffrait votre monde ne pouvait se passer de son concours. Ainsi, ce que vous appelez l’adversaire est en réalité l’ami de votre croissance, l’adjuvant nécessaire et essentiel à votre transition individuelle et collective.

Tu nous dresses ce large tableau et je trouve que tout y trouve sa juste dimension. À t’écouter, il n’y a plus de place pour la lourdeur, l’aigreur, le désespoir ou la résignation ! Merci !

C’est sur ce plan que se sèment les nouvelles graines et sur aucun autre. Aussi, hissez-vous ici tout le temps. Lorsque vous retombez dans le doute ou la peur, reconnectez-vous aux êtres, aux textes qui vous portent vers le haut. Reconnectez-vous aussi à votre corps et à son environnement naturel. Cultivez ce passage encore étroit vers ces énergies ascendantes, car tout s’accélère. Autant le pourrissement que la germination du nouveau.

C’est un honneur et une grande joie pour nous de vous accompagner dans cette transition. Nous aussi, de la fédération des peuples libres, des serviteurs de l’amour, nous continuons à apprendre à vos côtés, sans quoi nous ne serions pas présents. Chaque maillon entre vous et la source apprend et s’éveille dans ce processus interdimensionnel. Soyez-en bien conscients. Ne vous imaginez pas être les seuls dans la tourmente. Nous aussi apprenons à rebondir grâce aux actions d’un adversaire que nous apprenons à considérer comme un précieux ami, même s’il a oublié que nous retournions tous vers la même demeure : celle de la conscience de notre unité une.

Merci de nous mener si haut, Atena. Tes mots sont comme un baume pour le coeur et le courage que tu nous donnes est puissant. Puissions-nous le recevoir à pleines gorgées !

Cette source qui se donne à vous ne s’éteindra pas, ne se tarira plus, parce que vous allez découvrir qu’elle est toujours avec vous, puisqu’elle est vous-mêmes. C’est votre coeur en éveil qui vous abreuve. Je ne me fais que son intermédiaire pour vous aider à en prendre conscience. Ce qui est en germination, ce n’est pas un nouveau monde extérieur, c’est votre propre conscience. C’est alors comme une simple conséquence que s’établira un monde sur cette même longueur d’onde.

Il y a encore tant à vous transmettre, mais il est inutile de vous donner une indigestion. Ce plat-ci est déjà bien consistant. Je te laisse repartir avec lui et te fais confiance pour le traduire en mots. Que ces mots puissent se charger de la puissance de rappel que je vous envoie.

Recevez toutes nos bénédictions.

Merci, Atena !