Bonjour mes amis solteriens ! Bienvenue ici, que ce soit sur mon canal vidéo, ou sur mon blog pour ceux qui préfèrent lire.
Dans ce cycle d’entrevues que j’ai choisi de mener, j’avais envie d’inviter aujourd’hui une autre amie d’Adikan. Une amie dont le témoignage pourrait vous surprendre, mais aussi vous inspirer de nouvelles compréhensions.
Loya, c’est toi que j’ai l’impulsion d’interviewer aujourd’hui. Es-tu d’accord ?
Je suis contente de voir que tu commences à prendre les choses en main par toi-même, Foelia. Ce projet devient peu à peu le tien. Il tient de plus en plus sur tes propres forces et ta propre volonté. C’est ce que nous espérions tous, ici, sans pouvoir te le dire plus clairement, ce qui aurait court-circuité l’éveil de ta responsabilité propre, qui est toujours personnel, individuel. Se rendre compte, seul, par soi-même, que la force d’agir nous appartient de tout temps, est une grande bénédiction. Aussi, je suis heureuse de participer à cette entrevue et de répondre un grand « oui » à cette invitation qui vient de toi, et plus seulement de moi.
Merci Loya ! Oui, c’est bon et en même temps je ne te cache pas que j’éprouve un certain trac. J’ai l’impression de quitter ma place de réceptrice habituelle. J’ai l’impression de peut-être déborder de mon rôle.
C’est bien que tu nommes ça, ça pourra faire du bien à tous ceux qui doivent franchir ce cap de la prise de responsabilité. Oui, cela déstabilise et fait surgir toute une série de peurs profondes. Petits, il vous est arrivé à chacun de vouloir prendre une responsabilité et le résultat a, au moins une fois, été désastreux dans votre jugement. C’est pourquoi reprendre votre responsabilité d’agir demande beaucoup de courage et de détermination, parce que ce n’est pas anodin : cela revient à accepter de voir remonter ces peurs. Et ici, tu nommes bien celle que tu as décrite comme « Reste bien à ta place, sans déborder, sinon il t’arrivera malheur ! ». Eh bien, que cette croyance forte puisse peu à peu se dissoudre en chacun de vous, sous l’action de votre courage d’aimer, de vous aimer.
Alors, si tu organises cette entrevue, j’imagine que tu as prévu des questions, ma chère Foelia ?
J’ai toujours des questions, Loya ! D’abord, pour qu’on puisse explorer plusieurs sujets, mon intention est de t’inviter sur une série de six entrevues. Et je ferais de même avec chacun de vous, qui m’accompagnez depuis si longtemps depuis les plans de la créativité. Mon idée est de vous donner la parole pour que vous puissiez nous partager quelques éléments de votre action envers notre monde solterien. Je suis convaincue que cela pourra en inspirer plus d’un ici-bas !
Alors, voici ma première question : ceux qui s’intéressent à notre travail depuis un moment te connaissent déjà comme étant une accompagnatrice interdimensionnelle. Peut-être cela vaudrait-il la peine de redéfinir ce concept. Que pourrais-tu dire de ce rôle que tu remplis ?
Avant tout, que je vis cette aventure avec beaucoup de joie. Sur nos plans, nous sommes totalement conscients que ce qui s’accomplit hors de la joie n’a aucune vertu, aucune consistance. Le point primordial est toujours de faire le point sur le degré d’enthousiasme qui nous fait agir. Il y a une recherche perpétuelle, pour chacun de nous, afin de nous retrouver à occuper des rôles de la manière la plus efficace. J’utilise le mot « efficace » un peu différemment de vous et j’en suis consciente. L’efficacité nait simplement de la recherche perpétuelle de l’alignement juste avec notre enthousiasme. C’est depuis cet alignement que nos actions servent le plus la vie qui nous traverse. Cela est une réalité sur tous les plans de l’être. Je peux te dire que la cité d’Adikan, que tu as bien connue, ne pourrait fonctionner aussi efficacement sans que chacun de ses habitants ne soit conscient de cette recherche d’alignement au quotidien. Elior vous en reparlera certainement, et bien mieux que moi.
Cette fonction d’accompagnatrice est pour moi source de joie, parce que je continue sans cesse à explorer mes capacités. J’aime comprendre de mieux en mieux comment me plonger dans des mondes plus ou moins denses. J’aime apprendre à interagir de mieux en mieux avec des amis qui, comme toi, ne se trouvent plus quotidiennement sur le même plan que moi. En tant qu’accompagnatrice interdimensionnelle, je suis un peu comme une bâtisseuse de ponts entre les mondes. C’est une passion pour moi. Je découvre mille langages pour que des états de conscience a priori tellement différents puissent communiquer certaines informations d’un monde à l’autre. Je découvre, et je crée aussi. Et cela est incontournable. C’est lorsqu’on crée de nouveaux chemins pour l’esprit dans la matière qu’on est porté à fréquenter ce qu’il y a de plus sacré dans la vie qui nous porte et que nous portons.
Merci à toi, Loya, pour ce nouvel axe de compréhension. Cela nous donne à voir toujours plus et c’est tellement bon !
Vous êtes sur le seuil d’un monde tout nouveau et tellement plus vaste. Vos petites barricades intérieures sont invitées à voler en éclats. C’est pourquoi il y a tant de nouveaux concepts à intégrer rapidement. Vous voyez comme il ne s’agit pas de me croire, mais de simplement développer une agilité d’esprit face à des possibilités que vous ne pouviez même pas imaginer il y a quelques années ?
En tant qu’accompagnatrice interdimensionnelle, qu’est-ce qui te semble le plus important à faire passer aujourd’hui, pour ouvrir la conscience de ceux que nous parvenons à toucher de cette manière, tous ceux qui nous écoutent ici ?
Eh bien le plus urgent me semble de déjà créer en chacun de vous la possibilité d’être accompagnés. Notre travail de reliance entre les mondes sera mille fois plus efficace lorsqu’il se fera dans les deux sens. Commencez donc par envisager la possibilité que chacun de vous puisse avoir des accompagnateurs sur des plans plus subtils. Je ne vous demande pas d’y croire, mais de créer cette possibilité en vous, simplement en ressentant : « Ok, c’est bien possible que j’aie, moi aussi, des accompagnateurs qui n’attendent qu’une chose pouvoir communiquer avec moi ! » Ce ressenti suffit. Tournez-vous vers l’intérieur et osez poser une question. Découvrez petit à petit de quelle manière vous recevez une réponse. Cela varie pour chacun. Tentez de détecter tout type de variation dans vos perceptions. Tentez de traduire les ressentis qui vous parviennent à travers tous vos sens, des plus denses aux plus subtils. C’est le chemin. Ensuite, vous apprendrez à traduire ces informations pour qu’elles vous soient utiles directement. Notre rôle ne sera jamais de vous dire quoi faire, mais de vous aider à voir les implications de vos choix et de vos non-choix, ainsi que de vous aider à vous connecter à votre enthousiasme, à reprendre votre responsabilité de créateurs, votre souveraineté. C’est cela notre rôle d’accompagnateurs.
Chacun a un accompagnateur ?
Dans l’absolu, je peux faire une réponse simple et vous dire un grand « oui ». Une réponse plus juste serait de dire que vous avez un accompagnateur dès que vous autorisez en vous cette possibilité.
Je vais vous donner une piste de décollage, et cela peut être considéré comme un jeu joyeux, auquel vous pourrez jouer le plus souvent possible. Si vous êtes suffisamment à l’aise avec l’idée qu’il y a toujours un accompagnateur prêt à communiquer avec vous, donnez-lui un nom. Ressentez sa présence et créez mentalement une image de lui. Cette image sera un décor, mais un décor sur lequel vous pourrez accrocher vos ressentis. Il n’est donc pas faux en lui-même. Il serait seulement faux de le considérer comme vrai. Hihi !
Drôle de formulation !
Je n’en trouve pas d’autre. J’espère que vous comprenez. La suite du jeu et d’appeler votre accompagnateur le plus souvent possible, par le nom que vous lui avez donné, tout en faisant venir à vous l’image que vous avez créée pour lui, et qui agira au même titre que le nom pour établir la connexion. Parlez-lui le plus souvent possible, confiez-vous à lui, et surtout, posez-lui des questions. Tout type de question. C’est lui qui aura la charge d’orienter vos questions de mieux en mieux, mais tentez tout ce qui vous passe par la tête. Vous découvrirez qu’il y a des questions riches en termes d’intensité. Des questions qui lui permettront vraiment d’intervenir avec la même intensité. Vous découvrirez qu’il y a des questions plus faibles, auxquelles il ne pourra pas apporter de réponse intéressante. C’est un jeu de découverte que je vous propose ici.
Puisque tu me demandais, Foelia, ce que je jugeais le plus important actuellement, eh bien voici ma réponse : que chacun puisse créer un pont de communication avec un accompagnateur.
Merci pour cette première entrevue, Loya. Nous reviendrons sur ce sujet très bientôt, parce que j’ai encore plein de questions à te poser.
Je serai au rendez-vous avec joie ! Belle journée à tous !
À bientôt, Loya !
Merci à chacun de vous qui nous avez suivi jusqu’ici. Je vous rappelle que cette émission est interactive et que si cette entrevue éveille en vous des questions que vous souhaitez poser à Loya, c’est tout à fait possible ! Envoyez-moi vos questions via le formulaire de contact de mon site foelia.net. Je me ferai un plaisir de les soumettre à Loya lors de notre prochaine entrevue.
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Que vous me connaissiez par mes livres, mon blog, mon canal Telegram, ou encore ma chaine Youtube, vous pouvez utiliser ce texte librement, pour autant que vous conserviez ces quelques lignes et liens et que vous fassiez référence au blog de Foelia : https://foelia.net. Merci !
Votre dévouée Foelia
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